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La music box, la mythique machine à vinyles

Cet appareil de taille assez imposante et très lourd est longtemps resté incontournable dans les bars, les clubs et autres lieux publics. Il proposait une sélection importante et éclectique de titres musicaux enregistrés sur des disques vinyles contenus à l'intérieur de la machine. Les juke-box étaient équipés d'un monnayeur qui, après paiement, permettait d'actionner les touches correspondant à un titre musical. Un mécanisme sélectionnait alors le disque correspondant et autorisait l’écoute collective du morceau.

La petite histoire de la boîte à musique

Le juke-box serait né en Amérique dans les années 30 et son nom proviendrait de la contraction de "juke-joints", un mot populaire pour désigner les bars dansants de l'époque. En 1946, apparaît le modèle 1015, le jukebox le plus vendu à ce jour conçu par l'entreprise américaine Wurlitzer. Tous les modèles qui suivirent ont fonctionné avec des 78 tours jusqu'en 1950 où apparaît le 45 tours. Il reste aujourd'hui seulement trois fabricants connus aux Etats-Unis qui se limitent à répliquer les modèles les plus emblématiques. Le jukebox revenant à la mode, d'anciennes machines sont aussi rénovées et intègrent désormais des bagues en plastique afin de faciliter au mieux leur fonctionnement.

Le retour du jukebox pour le plus grand bonheur des nostalgiques

A partir des années 1970, l'intérêt pour le jukebox décline peu à peu et les principaux fabricants cessent progressivement de les produire. Wurlitzer arrête la fabrication de ses boîtes à musique après l'échec du "1050" son dernier modèle. A partir des années 1990, les jukebox réapparaissent sous un nouveau design avec dans leurs entrailles des compacts discs (disques compacts en français) en remplacement des anciens vinyles. Quelques années plus tard, les appareils s'adaptent à la technologie numérique avec un choix décuplé voire illimité de titres accessibles via internet. L'usage public du juke-box a cependant souffert de la tendance désormais plus axée sur une écoute de musique personnelle avec les lecteurs mp3 et autres systèmes d'écoute connectés.

Aujourd'hui, la mode rétro signe le grand retour du juke box à vinyles mais en usage limité, le plus souvent restreint à la sphère privée. Cette célèbre machine fait désormais le bonheur des passionnés. Pour preuve quelques jukebox sont devenus de véritables pièces de collection, à l'image de certains modèles d'avant-guerre ou du légendaire "1015" de Wurlitzer.

Se raccrocher à un élément du passé pour mieux appréhender l'avenir, trouver un repère dans un passé que l'on imagine plus heureux et insouciant sont autant de raisons qui expliquent cet engouement pour les objets rétros comme le jukebox. Dans notre société ultra-connectée, peut-être avons-nous besoin de revenir à l’essentiel des choses et de nous raccrocher à des repères concrets, symboles d'une époque qui n'a jamais autant suscité la nostalgie...

Le premier instrument inventé par l’Homme était un instrument à vent. Il s’agissait d’une flûte. Cet instrument a été retrouvé par des archéologues en 2008 en Allemagne.

En effet, la flûte est l’instrument le plus facile à fabriquer. À cette époque, ils utilisaient des os d’animaux dans lesquels ils faisaient des trous. En soufflant à l'intérieur, on obtient un son qui devient différent en fonction des trous bouchés avec les doigts. C’est l’invention de la flûte. 

Avec le temps, les flûtes ont été améliorées, les matériaux utilisés n'étaient plus seulement des os de vautour, mais dans l'ivoire de mammouth. 

À la même époque, les sifflets ont également été inventés. L’objectif était d’émettre un bruit assez fort et distinct pour prévenir en cas de danger. 

Les archéologues n’ont trouvé aucune preuve qu’à cette époque, les instruments à percussion ont également existé, mais on peut imaginer quand même des tambours fabriqués avec des peaux tendus. 

Aujourd’hui, tous ces types d’instruments sont régulièrement utilisés dans le domaine de la musique.

https://www.youtube.com/watch?v=DVIIs4GQO04

https://www.youtube.com/watch?v=zquFZaHw2TQ

Les disques vinyle étaient appelés à l’époque disque microsillons. Cette appellation est due à leur structure, faite de rainure et de microsillons, permettant au tourne-disque de lire la musique en fonction de ces microsillons. Le nom vinyle est apparu plus tard, aux alentours des années 2000. Cette dénomination vient simplement du matériau utilisé pour fabriquer le disque, le vinyle. 

Les disques microsillons sont apparus dans les années 1950. Les premiers à apparaître sont les 33 tours. Ils ont été conçus au même moment que les premiers tourne-disques à amplificateur électronique (ceux que l’on utilise encore aujourd’hui). Il s’agissait d’une véritable révolution musicale, la qualité sonore n’avait jamais été égalé auparavant. Ils ont vite remplacé les disques à sillons, de 78 tours. 

C’est ensuite le 45 tours qui ont fait leur apparition et en même temps, le terme single. Ce mot vient du fait que chaque face d’un 45 tours peut seulement enregistrer une seule musique (entre trois et cinq minutes).

 

 

 

 

À l’époque le disque vinyle avait été dépassé par les CD (Compact Disc) mais depuis quelques années, les CD sont en déclin tandis que les vinyles reviennent à la mode.  

Aujourd’hui, les CD ne sont presque plus utilisés, excepté dans les voitures pour certains anciens modèles. Ce sont les plateformes d’écoute en streaming qui sont les plus utilisées, telles que Spotify, Youtube, Apple Music, etc. Et certains, de plus en plus nombreux,  écoutent également de la musique sur vinyle. C’est pourquoi, on peut trouver des musiques récentes sur vinyle, car c’est un business qui fonctionne bien.